Petites boutures deviendront grandes
Je n'avais jamais autant bouturé et semé que cette année !
Et c'est une soixantaine de plantes que j'ai pu ainsi obtenir et repiquer dans mon jardin en octobre dernier : des marguerites, des gaillardes, des violas cornutas, des coréopsis, des pyrèthres, des ancolies et des echinaceas.
Des boutures de fuchsias, de spirées, de millepertuis et de lavatères arbustives iront les rejoindre au printemps prochain.
Les boutures de lavatères et de fuchsias sont très faciles à réaliser. Elles ont toutes repris!
Ma méthode n'a rien d'exceptionnel : un petit pot rempli d'un terreau spécial du commerce que je recouvre d'une poche plastique (sacs pour la congélation, calibre moyen) maintenue par un élastique. J'humidifie la terre mais je ne la noie surtout pas : la bouture risquerait la pourriture. Et voilà!
Je regarde de temps en temps, histoire de vérifier si la bouture n'a pas pourri ou si l'humidité est suffisante et j'attends. Il faut généralement patienter un mois. Début septembre, les lavatères n'ont pas mis quinze jours !!!
Dernière chose essentielle : les boutures doivent être placées à l'ombre.
Désolée, la photo n'est pas terrible mais c'est là que j'entrepose mes boutures.
Les lavatères sont au fond, au devant, on aperçoit un petit pied de lierre panaché et un géranium vivace. Il y a aussi un pied issu d'une graine d'albizia.
J'ai également fait (hier seulement, c'est un essai) une dizaine de boutures de sauge de graham que j'ai découverte cette année et qui m'a enchantée par la longévité de sa floraison.
Peupleront-elles mon jardin l'année prochaine ? Croisons les doigts.
Photo : lavatera "barnsley"
Et c'est une soixantaine de plantes que j'ai pu ainsi obtenir et repiquer dans mon jardin en octobre dernier : des marguerites, des gaillardes, des violas cornutas, des coréopsis, des pyrèthres, des ancolies et des echinaceas.
Des boutures de fuchsias, de spirées, de millepertuis et de lavatères arbustives iront les rejoindre au printemps prochain.
Les boutures de lavatères et de fuchsias sont très faciles à réaliser. Elles ont toutes repris!
Ma méthode n'a rien d'exceptionnel : un petit pot rempli d'un terreau spécial du commerce que je recouvre d'une poche plastique (sacs pour la congélation, calibre moyen) maintenue par un élastique. J'humidifie la terre mais je ne la noie surtout pas : la bouture risquerait la pourriture. Et voilà!
Je regarde de temps en temps, histoire de vérifier si la bouture n'a pas pourri ou si l'humidité est suffisante et j'attends. Il faut généralement patienter un mois. Début septembre, les lavatères n'ont pas mis quinze jours !!!
Dernière chose essentielle : les boutures doivent être placées à l'ombre.
Désolée, la photo n'est pas terrible mais c'est là que j'entrepose mes boutures. Les lavatères sont au fond, au devant, on aperçoit un petit pied de lierre panaché et un géranium vivace. Il y a aussi un pied issu d'une graine d'albizia.
J'ai également fait (hier seulement, c'est un essai) une dizaine de boutures de sauge de graham que j'ai découverte cette année et qui m'a enchantée par la longévité de sa floraison.
Peupleront-elles mon jardin l'année prochaine ? Croisons les doigts.
Photo : lavatera "barnsley"